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New-York in sorrow!

New-York in sorrow!
Bewildered, shocked by the fire which climbs up
The debris of the two towers which flowered the city,
I’m so afraid of the sky, something would loom up,
Yet again, perhaps, yet one more plane! Panic on the city!
 
Look after the voices who implore “help” under the debris!
What’s a destiny for these buildings which were full of lives!
The lavish skyscrapers fell down by reckless enemies
Whose name wasn’t made for respecting all those lives!
 
Two planes in war against the two highest buildings of New York!
Enough to founder all America in a serious and dark warning!
So quiet yesterday, white doves flied over the roofs of New York!
So terrify now, lots of white candles in churches are burning!
 
Such a disaster around this cemetery of jammed bodies!
Such a pity for these innocents who have lost the life!
Such a panic during the tumbling down which outlived bodies!
Such a feeling of powerlessness about terrorists who abort life!

Duhamel Christine.
 

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Free as a bird!

Free as a bird!

Free as a bird through the looking-glass

Like Alice in a non-sense world!

Don't let me think about this time,

It would be so unlucky to find my way,

Behaving the value of the Truth,

Inside the dependance of the society.

Can you imagine why you run so fast

In the Caucus Race without a dream,

Changing the world is possible if we want,

With the respect of each other and peace,

In the way of negociation and not of hate,

Can you imagine a world full of love,

Where people are free as a bird!

Free as a bird, Free as a bird

I'm this bird full of hope,not of hate.

 

DUHAMEL Christine.

 

 

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Corps et âmes.

Corps et âmes.

Courir après le temps qui file sans voix
Sentir la vague qui s'élance vers l'infini
Recueillir le murmure du vent qui rugit,
S'étendre sur le sable fin dans tous ses ébats!

La mer reflète les joies et les peines
Mon âme écrit ses états sur du papier fin
Tendu par les liasses de dunes sans fin,
Pour raconter une belle histoire, en vain!

Faire taire la vague lourde de promesses,
Pour que le corps plonge dans cette eau louée,
Pour lui imposer une vie sans pensées volées,
Pour que l'âme rêve d'une épopée de tendresse!

La vie est la promesse d'un songe sans artifice
Flâner sur les sentiers romantiques, c'est si beau!
L'amour est comme une clé trouvée au milieu des flots
C'est un cadeau de la vie,pas un jouet plein d'artifices!


Christine Duhamel.

 

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Santorin

Santorin

Un jour de juillet, je suis allée chez toi, Santorin,

Sur ta face raide et rocheuse, je me suis plantée,

A l’ombre de tes maisons blanches perlées,

Les yeux emplis de soleil, je pense aux bains.

    

Les ruelles serpentant ces villages dépaysants,

M’invitent au sermon des popes qui se plient

Au temps de la foi orthodoxe, ils nous prient

De ne pas oublier leur pieuse tranquillité d’antan.

                                                         

Le long du sentier aux ânes, je me suis promenée

De bas en haut sur le dos d’un mulet bien Sympa,

Sous le regard furtif des pélicans qui posent là

Sous les regards des passants jouant au jeu de Polé.

                                                            

Les maisonnettes dessinant les lieux de rêve éternel,

S’alignent le long des ruelles éclairées de merveilles

Plissent les frelons qui cherchent les fruits vermeils,

Emmerveillent les oiseaux qui signent l'arc-en-ciel.

 

Christine Duhamel.

 

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Le Béguinage de Courtrai.

Le Béguinage de Courtrai.

Je t'aime, Courtrai, au milieu de tes heures !

Je t'aime Courtrai, pour ton standing, ton humeur,

Je te suis pas à pas dans les méandres de tes rues,

Je poursuis mon chemin jusqu'à me frayer cette rue.

 

Au cœur de ton petit village près de la place grande,

Se tient le célèbre béguinage de toute une cité grande

Sans plus attendre, je me promène parmi tes maisonnettes,

Quarante et une, pour ne pas les compter, quel casse-tête !
 

La maison de la Supérieure compte sur ses pignons

A multiples redans, ses vocations aux bonnes opinions,

Sur les siècles filés par les prières pour Sainte Catherine,

Au travers des cierges vibre la chapelle de pensées divines !

 
Duhamel Christine.

 

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To the city of silver.

To the city of silver.
I couldn’t see my happiness through the clouds
But the others couldn’t talk to the great Heaven
All the time, I was disappeared, alone on the roads,
Through the sky, could I sing for Heaven?
 
Side by side, the age of a nice life broke down
The city of silver was growing only for it
But love and peace couldn’t tell for the cold town
War and weapons could be the truth for it.
 
Buildings and streets couldn’t applaud for love
All the men were running through anywhere
Birds and flowers were preaching for love
For a question of prudence, worth, from somewhere!
 
Silver has gone through the area of fine value
Beyond the way of Heaven who has no questions
Fortunately for us, the way of silver is always value
Finally, the city of silver wasn’t the city of consideration!
 
Duhamel Christine. 
 

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Sur les chemins de la Loire.

Sur les chemins de la Loire.

De fil en aiguille, La Loire doucement se faufile,

A travers champs, villes et sites surprenants de style,

Elle se gonfle d’orgueil au gré des châteaux renaissance,

Se dessine un espace voué aux aléas des eaux en abondance.

 

Son eau si claire inspire le poète rêveur dans ses pensées,

Ses ponts tant traversés ne peuvent décrire son défilé,

Sous les lanternes de cités royales imprimant leur sceau

Elle se dessine une voilure épousant les jardins royaux.

 

Sa douce musique sillonnant les berges d’herbes folles,

Libère cet émerveillement porteur d’une histoire d’idoles,

Où tant de promenades ont parcouru ses chemins sans fin,

Où tant de poissons s’évertuent à danser sur ses refrains !

 

Gloire à ton nom, Loire au cours si tortueux, si sauvage !

Gloire à tes châteaux qui n’ont pas fini de sabler ton passage !

Gloire à ton histoire qui perdura au fil des siècles et des années !

Gloire à tes vignobles d’un doux goût filant sous nos palais !

 

Christine Duhamel.

 

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Cheminées d'usines....

Poème décrivant la vie de Roubaix  vers la fin du XIX ème siècle!

Poème décrivant la vie de Roubaix vers la fin du XIX ème siècle!

De ma fenêtre, au dessus des toits de Roubaix,

Le paysage me parle de ton industrie grisée

Au cœur du textile qui fait sa place d’honneur

Parmi ses corons, ses vies haletantes de labeur.

 

Tant de fumées partant dans les airs sans arrêt,

Tant de poussières retombant sur nos sentiers

Rayés de pavés qui défilent sur nos quotidiens,

Là où le souffle de vivre promet que du dédain !

 

Toutes les rues se parfument au nom de l’ouvrage,

Toutes ces filatures ébruitant le son du cardage

Toutes ces mains courant pour manger un peu

Pour subsister au temps des cigales au mieux !

 

Lire sur Zola, pas le temps, pas le savoir nécessaire !

Se taire devant les écrasements pour tuer les nerfs !

S’affirmer au nom d’une liberté qui se meurt tant

Sous les coups de pied des bourgeois s’époustouflant !

 

Tant de fourmis ouvrières entassées en piles sages,

Tant de conditions difficiles à vivre à tout âge,

Tant de travail lourd à ne plus savoir qu’en  faire !

Tant de chiffres d’affaires à ne savoir qu’en  faire !

 

Christine Duhamel.

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Leçon de choses.

Leçon de choses.

Auprès de toi, j’apprends les mots qu’il faut,

Les mots qui parlent de révolte, de changement,

Les mots qui sonnent au cœur des congrès chauds,

Les mots qui réveillent de nos sommeils parlants.

 

Mourir sur une plage sans connaître mon être,

Parler d’une vision où tout serait beau, honnête,

Chanter au cœur d’une ville sans s’y paraître,

Nouer des liens de bonheur, d’amitié, de conquête.

 

Difficile de se lever hors d’une masse éduquée,

D’une éducation qui nous mène à l’obéissance,

D’une voie toute tracée depuis les premières années,

D’un poids qui nous mène aux emplois d’apparence.

 

Tant de courage, tant d’amour pourrait nous mener,

Sur un chemin où on se mettrait à penser autrement

Où le chômage n’empêcherait plus rien, s’inventer

A créer nos vies sur un air qui promet le changement.

 

Christine Duhamel.

 

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Jardins de Villandry.

Jardins de Villandry.

Mosaïques de parterres aux saveurs cultivées !

Dessins d’un Le Nôtre aux courbures effilées !

Allées aux tendres cultures si raffinées, si colorées !

Harmonie qui n’a de cesse qu’une raison détournée !

 

Fruits et légumes sont sous l’Empire du jardinier,

Fraîcheurs d’un printemps libre de ses sentiers !

Lourdeurs d’un été épousant une forte maturité !

Caresses de nature émerveillant ces belles années !

 

Labyrinthe qui mène au cœur d’une carte étoilée,

Tant de recettes à exécuter, à peaufiner pour nos palais !

Au jardin d’une France délicate pour les gourmets

Goûtant les proches terroirs d’un Saumur étayé.

 

Villandry, toi, tu m’as prêté un site de renom

Au creux d’un château gardant tes blasons

Pour le plaisir d’un lieu visité sans prétention

Au grand plaisir des jardiniers dessinant ton jupon.

 

Christine Duhamel.

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