Au détour de tes pierres dressées vers le ciel
Je me promenais sereine au cœur des monastères
Toutes les faces de tes charmes invoquaient le ciel
Malgré les bus de touristes parcourant leur terre.
Sur un des rochers surgit l’incroyable Aghia Triada
Qui se tait avec les crépuscules aux chants orthodoxes,
Qui se complait avec les cigales aux grelots d’apparat,
Qui s’éveille au cœur des prières sous fief orthodoxe.
Le pope de noir vêtu animait les lieux prêchant Panaya
De sa barbe et robe noire il montrait ses signes religieux
Ses icônes s’affichaient le long des murs sous son toit
Sa parole religieuse parcourait tout son être harmonieux.
Les sentiers du passé valorisent les ascenseurs à cordes
Les sentiers d’escalier tournoient en chœur vaillamment
Le long des pics de pierre qui s’amusent de ses cordes
Mais l’époque des prières parlent encore des jours d’antan.
Christine Duhamel.