Sous un soleil de plomb de juillet, les touristes venaient de çà et là par tous les recoins qui menaient à l’allée première qui faisait découvrir la majestueuse entrée de l’Acropole. Les multiples plantations aux facettes desséchées parfumaient avec grâce et tendresse nos parcours le long du Rocher Sacré qui surplombe Athènes. De douces allées aux pierres étuvées jalonnant nos pas nous faisaient découvrir maintes occasions de saisir l’Acropole avec contemplation.
Comme cela devait être beau, jadis, où Périclès menait avec tant de hardiesse la construction de cette grande cité. La démocratie battait son plein, les tailleurs de marbre rose foisonnaient le long du Rocher Sacré, les dieux grecs étant tant implorés surtout Athéna, déesse de la gloire et de l’intelligence guerrière, qui menait par ses grâces tant de temples.
Vers les Propylées, mon coeur se serre. Que découvrirai-je là en ton seuil ?