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Bei uns!

Bei uns!

Wir sind nur eigentlich zusammen

Können Sie, bitte, nicht verführen!

Das ist kein Eintritt, da seien Sie!

Bringen Sie uns einige Fantasie!

 

Wir haben keinen Schlüssel, warum?

Türen sind oft geöffnet, gehen Sie herum?

Arbeit und Liebe würden bei uns ankommen!

Seien Sie nicht beobachtet! Bei uns, willkommen!

 

Fotos und Kameras sind die Augen, vorsichtig!

Tut mir leid! Die Kleider sind mit Farbe, so richtig!

Kein Name zu erzählen, kein Gift zu erfinden!

Wir erleben über die schönste Prüfung zu gründen!

 

Bei uns leben, ist aus Liebe zu der ganzen Freiheit!

Bei uns lachen, ist die Sprache für die Wirklichkeit!

Bei uns sprechen, ist die ganze Luft für deine Meinung!

Bei uns tanzen, ist das ganze Ereignis für diese Bildung!

 

Bei uns, möchten Sie einen Stern ergreifen?

Bei uns, möchten Sie den guten Pfad angeben?

Bei uns, wissen Sie dass wir an lieben Gott glauben?

Bei uns, wissen Sie dass wir die Lüge nicht mögen?

 

Christine Duhamel.

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Sans Paroles...

Sans Paroles...

Que de bla bla parfois autour de soi,
Que de mots dits sans écho, sans émoi!!
Que de murmures sans relief, sans émotion!
Que de lèvres papotantes sans dévotion!!!!

Parler pour ne rien dire, ce n'est pas mon cas!
Parler aux mauvaises langues, j'évite cela!
Parler aux murs, c'est souvent mon cas!
Parler  avec allégresse c'est tellement plus sympa!

Mots d'amour, c'est souvent des mots de comédie
Mots d'amitiés, j'y crois déjà plus , c'est tout dit!
Mots d'argent,inquiétant , ça ne me donne plus d'envie!
Mots d'enfants, c'est souvent pour déconner, c'est la vie!

Que ferait-on sans paroles, sans voix, sans bruit de bouche!
Comment marcherait le monde sans bouche!
Peut être moins de disputes, moins de tracas!
Mais aussi moins de rire, de blagues et d'éclats!

Christine Duhamel

 

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Bären von Berlin.

Bären von Berlin.

Welcher Bär ist er der Beste?

Kein Problem! Sie sind im Fest.

Alle Bären der Welt sind in Berlin

So farblich in der Mitte von Berlin!

 

Für den Frieden sind sie versammelt,

Für die Kinder sind sie auch versammelt

Für Berlin sind sie vergnügt, so gut gezeichnet!

Für die Mauer zu vergessen, Bären sind gebildet!

 

Bären sind da für die künstlerischen Fotos!

Bären sind da, anstatt einem hässlichen Blockhaus!

Bären sind da für unsere verschlafene Augen!

Bären sind da für alles Vaterland zu zusammen!

 

Christine Duhamel.

 

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Fleurs du mal.

Fleurs du mal.

Les trottoirs se laissent aux pluies d’hiver,

Les pavés gris s’émoussent sous nos pas,
Dur de chanter, il fait si froid l’hiver,
Au givre, mes pieds frissonnent de froid.
 
Les lanternes qui éclairent nos chemins
N’osent se rebeller sur les idées durcies
Leur lumière guide les vies de chagrins,
Sur le noir velours des manteaux ternis.
 
L’œil rivé sur le chien qui se promène,
Je me sens vide, le cœur sans éclairci,
Les mains vides de projet, sans haine,
Je revois les jours roses qui sont partis.
 
Misère, tu me tends la perche sans hâte,
Ma voix ne peut dire les songes interdits
Mes lèvres s’ouvrent aux portes écarlates
De dédain, elles me laissent sous la pluie.
 
J’aimerais que ma joie cerise s’éveille
Sous le regard des autres, sans pitié
Mais que dire des autres qui  veillent
A l’encontre de mes soupirs inavoués. 
 
Christine Duhamel.
 

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Why don't you?

Why don't you?

I needn’t to see your supplies

But it seems to me you’re nice,

If you go for a walk, can we?

Don’t remember you needn’t me?

 

Your life seems to be a wonderful land,

Your comments don’t go for a nice land,

Face to face, you don’t remember your lips

When your mouth sign your green depths!

 

For your happiness, don’t you remake off?

Your green eyes weren’t in search of

To be or not to be, that’s the question!

Why don’t you believe in your faction?

 

Fortunately, can you tell me why?

You feel so hardly and that’s why

Your dimension isn’t necessarily upon

The way that someone can purchase, go on!

 

Christine Duhamel.

 

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Aux portes de Malacca!

Aux portes de Malacca!

Si loin, aux fins fonds de l'orient mystique,

Je me suis mise en transe médiumnique,

Malacca, je me suis mise à tes pieds,

Sous des cieux tropicaux à méditer!

 

Tes temples bouddhistes sont si sculptés,

Pavés de bois aux mille couleurs usées

L'encens coulant de tous ses six sens,

Sous les incantations bénies en silence!

 

Les longues files de pèlerins si dévoués,

Sculptent la vie du Bouddha tant rayonné,

Sous des longs toits aux sillages déclinés,

Sous l'emprise d'une croyance si célébrée!

 

Malacca, tu m'as transformé depuis ce temps

Aux portes grisées de ce monde si différent

Là où dragons, phoenix, tigres et tortues,

Se figent aux quatre coins de tes lieux élus!

 

Christine Duhamel.

 

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Comme un goéland.

Comme un goéland.

Je suis rêveuse dans la sagesse des temps

La finesse des vagues se meut en gouttes d'argent

La douceur des flots vibre au diapason de l'amour

La musique des vagues chante la beauté du velours.

 

Le lancinant va-et-vient lie le sable à la vie,

La colère des flots libère la grandeur de l'oubli

La muse des flots lance les colères rageuses

De la vague silencieuse émerge la vague lieuse.

 

Les voûtes des vagues s'enlacent en diagonales floues

Belle est la sagesse des tangages si doux

La colère du ciel râle au siège des passions

De la crypte se figent les belles révolutions.

 

La beauté des côtes ruisselle de vagues ternes

Le tonnerre des vagues s'apaise en gouttes naines

La force des lames effleure les sillons flous,

Le sable borde le sol en flots lourds de boue.

 

La glissade des flots sur le sable docile

Enlace de sensualité les douces îles,

Forger les flots en glisses époustouflantes,

Alourdit le sable de grandes déferlantes.

 

Christine Duhamel.

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Requiem pour Paris!

Requiem pour Paris!

Pleurs sur Paris, triste est la ville,

France en guerre, tant de morts depuis!

L'intolérance est devenue rage et bruit,

Paris en deuil, s'évertue à revivre tranquille!

 

Bougies, fleurs, chagrins, que dire!

Devant l'horreur de ces massacres sanglants!

Sous l'effigie d'un drapeau imbibé de sang innocent,

Paix et Amour sont à reconstruire!

 

Maudire les attentats sans évacuer la peur!

L'ignorance des messages de paix se brise,

Au nom d'une barbarie religieuse en crise,

Sous le poids de vies volées sous la terreur!

 

Priez pour les victimes! c'était si dur ce soir-là!

Une boucherie sans nom s'est figée aux regards,

Paris , sois forte et sors de ce silence sans égard!

Paris, renais de tes misères, n'en reste pas là!

 

Christine Duhamel.

 

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Au seuil de la plaine hongroise...

Au seuil de la plaine hongroise...

Des terres à perte de vue sans fin,
Des herbes folles dans une steppe échaudée,
Des troupeaux de bovidés étreints,
Des fermes étalées, tel un far-ouest oublié!

L'âme du hongrois s'y perd, c'est sûr!
Au coeur des champs où les chevaux sages,
Finissent par donner de leur cambrure,
Leur spectacle fou sur la putsza sauvage!

Belle ballade que voilà parmi ce paysage,
Loin des furies de la ville, et si septentrionale,
Sous l'oeil complice du ciel si calme, si sage,
Où Dame Nature maille sa verdure ornementale!

Dans les sentiers d'Hortobagy, j'ai trouvé ma joie,
Sous un crépuscule si chaud, sous un folklore dentelé,
Les réponses sur un monde loin des tourments narquois,
Avec un sourire bien hongrois au fil d'une calèche attelée!


Christine Duhamel

 

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